Nos engagements
Accessibilité du site internet
Qu’est-ce que l’accessibilité numérique ?
Dans le respect de l’article 47 de la loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, Universcience, établissement public de la Cité des sciences et de l’industrie et du Palais de la découverte est tenu de créer des sites conformes aux recommandations du Référentiel Général d’Amélioration de l’Accessibilité (RGAA).
Des sites accessibles pour tous
La refonte de nos sites (cite-sciences.fr, palais-decouverte.fr et universcience.fr ) en 2014, nous a permis de revoir totalement leur accessibilité.
Notre objectif est de respecter les normes d’accessibilité décrites dans le RGAA, afin que nos sites soient accessibles aux personnes handicapées. Néanmoins, si vous avez des difficultés, des questions ou des suggestions, n’hésitez pas à nous contacter.
L’accessibilité web s’inscrit dans une politique globale de nos musées et de leurs offres, principe inclus dans la charte de la Cité des sciences et de l’industrie dès son ouverture et partagé par le Palais de la découverte lors de la réunion des deux établissements au sein d’Universcience.
L’accessibilité web doit avant tout faciliter l’accès de nos sites aux personnes handicapées mais c’est aussi une démarche qualité :
en garantissant des sites de qualité et un confort d’utilisation, elle bénéficie également à beaucoup d’autres utilisateurs, comme par exemple, les personnes âgées ou celles dont la langue maternelle n’est pas le français.
Nous mettons tout en œuvre pour prévoir, dès la conception des sites ou des projets, des pages structurées correctement et les plus accessibles possible et nous programmons par ailleurs régulièrement la mise en conformité de certains contenus, plus complexe et coûteuse (audio-visuels, documents à télécharger…).
L’accessibilité des sites web ne s’arrête pas après leur mise en ligne ou à la déclaration de conformité. Nous nous engageons aussi à exercer une veille permanente sur nos sites, à améliorer régulièrement l’intégration de nos contenus et à effectuer des contrôles avant publications. Pour faire nos tests nous utilisons le RGAA 4.0 en vigueur actuellement.
Écriture inclusive : nos bonnes pratiques
Comme le montrent nombre d’études sociologiques les filles sont toujours sous-représentées dans les spécialités scientifiques (chiffres du ministère de l’Éducation Nationale et de la Jeunesse, 2019) et moins de 30 % des chercheurs et chercheuses sont des femmes.
Pour lutter contre les stéréotypes, marquer la mixité des sexes et visibiliser les femmes toute l’équipe de l’École de la médiation s’applique à pratiquer l’écriture inclusive sur ces documents et le langage inclusif à l’oral.
Quelle écriture inclusive ? car elle évolue avec les usages ; en 2020 tout le monde connait « autrice » même si trop peu l’utilise et qui ose dire encore « écrivaine ça fait vaine » ?
Voici les consignes que nous utilisons depuis de le début d’année 2020 sur le site internet de l’École de la médiation et dans nos documents interne.
Ces consignes reprennent toutes celles de La revue Sociologie du travail : nous les trouvons parfaites. Et elles ont été appréciées d’Eliane Viennot autrice de nombreux ouvrages sur ce sujet « Le langage inclusif : pourquoi, comment » Editions iXe, 2018, que demander de mieux ?
LES CONSIGNES | DES EXEMPLES DU SITE DE L’EDM |
· Marquer la mixité des genres, décliner les personnes au masculin ET au féminin | – Les médiateurs et médiatrices,
– Les professionnel·les – Les auteurs et autrices – Les joueurs et les joueuses – Les enseignants-chercheurs >le monde de la recherche, les chercheurs et les chercheuses |
· Décliner les doublons – par ordre alphabétique – ou aléatoirement | – Les médiateurs et médiatrices – Les formatrices et les formateurs |
· Éviter le masculin neutre | – Ils nous ont fait confiance > On nous fait confiance
– L’écosystème des acteurs > L’écosystème de la culture scientifique – L’expertise des participants > l’expertise des stagiaires |
· Adjectifs : accord de proximité avec le nom | – Des formateurs et formatrices certifiées
– Des médiatrices et médiateurs compétents, – Des professionnel·les amenées à faire de la médiation culturelle |
Le point médian ne s’utilise qu’en dernier recours | |
· Le point médian est utilisé pour des termes homophones (qui se prononcent de la même manière au féminin et au masculin ), pas pour les adjectifs, pas pour les articles | – Les professionnel·les
– Les réfugié·es – Les habitué·es |
· Utiliser – des termes épicènes (qui s’écrivent pareil au féminin et au masculin) – ou neutre |
– Un, une stagiaire (à utiliser plutôt au pluriel) – Une personne, – Un individu |
· Pour les autres, utiliser le masculin et le féminin, et utiliser plutôt le pluriel (sinon « le ou la » ) : | – Les musiciennes et musiciens
– Les médiateurs et médiatrices – Les étudiantes et les étudiants |